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La SIG mène double vie. Aux urgences en Betclic Élite (14e) avec un seul succès en sept matches depuis la fin du mois de janvier, elle batifole en Ligue des champions (BCL), considérée cette saison comme la deuxième épreuve continentale après l’Euroligue.

« Tout le monde sait que nous avons un scoreur important qui s’est démarqué des autres lors du match aller »

Luca Bianchi, à propos de Marcus Keene

« Je ne veux pas comparer la Coupe d’Europe et le Championnat de France. Le match à Bonn a une histoire très spécifique. La façon dont nous y sommes entrés et dont nous avons performé était différente (du Championnat de France). Mon souhait est que l’équipe soit capable de trouver le même niveau de consistance que lors de ce match aller », juge l’entraîneur italien de la SIG, Luca Bianchi, à l’aube de cette deuxième confrontation face au coleader de la Bundesliga, avec Berlin.

Aux mains du petit meneur américain TJ Shorts (1,72 m), troisième marqueur et deuxième passeur de l’épreuve, Bonn avait survolé la BCL et enchaîné onze succès d’affilée. Avant de succomber mercredi dernier au super finish d’un autre meneur de poche, Marcus Keene, auteur de neuf de ses 26 points dans les deux dernières minutes et du panier primé décisif à vingt secondes de la fin. « Tout le monde sait que nous avons un scoreur important dans l’équipe qui s’est démarqué des autres lors du match aller. Pour ce match, il faudra que tous les joueurs se mobilisent », prévient Bianchi, qui espère aussi les retours au jeu d’Ike Udanoh et du capitaine DeAndre Lansdowne, touchés en Allemagne et absents samedi lors de la défaite concédée à Levallois-Perret contre les Metropolitans (93-80).

Un revers qui plonge pleinement l’équipe alsacienne, quatrième budget de l’élite, dans la zone rouge et dans la confusion des priorités, entre l’espoir de se qualifier pour le Final Four de la Ligue des champions (12-14 mai) et la nécessité de vite sauver sa peau dans son cercle domestique.

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