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« Considérez-vous le déplacement à Marseille comme un test, après votre belle série (5 victoires et 1 nul) toujours en cours ?
C’est un match important contre une très bonne équipe, qui a sa façon de jouer, très athlétique, qui court beaucoup. Ça presse bien, ça fait des du un contre un partout pratiquement. Il va falloir qu’on soit au niveau et qu’on soit bons. J’aime bien leur coach (Igor Tudor), j’aime bien comment il travaille. Il les fait bien jouer depuis le début de saison, même s’ils ont perdu pas mal de points à domicile. Mais à l’extérieur, c’est extraordinaire.

Est-ce que l’OM, c’est le modèle vers lequel vous voulez tendre ?
J’aimerais bien, oui. Aujourd’hui, le haut niveau demande bien sûr des joueurs intelligents, athlétiques et en capacité de courir intelligemment, d’avoir une bonne technique. C’est important.

Avez-vous le sentiment que l’OM a plus de mal à imposer son jeu à domicile ?
Je ne sais pas, parce qu’ils gardent leur rythme de croisière. Il fait avec l’effectif qu’il a à sa disposition aussi. On verra qui il va aligner parce qu’il a aussi beaucoup de joueurs qui ont voyagé.

Malgré le bon parcours de Marseille cette saison, cette équipe ne prend-elle pas trop de risques ?
C’est sa façon de faire jouer son équipe (à Igor Tudor). Il ne prend pas plus de risques que ça. Ils ont des forces aussi, ils imposent les duels, ils ont des joueurs en capacité d’éliminer ou de faire des courses et des appels tranchants. C’est une très bonne équipe, bien équilibrée.

« Si tu veux jouer fort le week-end, il faut travailler fort. Je suis tout à fait avec d’accord avec Tudor. J’ai lu son interview dans « L’Équipe » »

La trêve n’arrive-t-elle pas au bon moment pour l’OM, qui a pu en profiter pour faire reposer certains joueurs comme Valentin Rongier ou Mattéo Guendouzi ?
Je ne pense pas que ça change quoi que ce soit. Le plus important, c’est d’être présent au début du match. Il va falloir élever encore notre niveau de jeu, notre niveau athlétique, pour aller chercher des points.

Même si le calendrier va se compliquer (Marseille, Toulouse, Lille, Rennes, Monaco, Lyon) pour vous, pensez-vous que le plus dur est passé avec les victoires obtenues qui vous ont rapproché du maintien ?
Vu la période où on était, bien sûr que c’était plus difficile, de gagner des confrontations (face à des rivaux directs), en février et mars. Maintenant on attaque les équipes du haut de tableau, à nous de nous jauger avec elles et d’avoir l’ambition de prendre des points. On est des compétiteurs. Pour moi, on doit être prêt à tous les matches, contre une petite ou une grosse équipe. Il faut avoir envie de montrer ses vraies qualités.

C’est la raison pour laquelle vous insistez en permanence sur l’intensité, y compris aux entraînements.
Si tu veux jouer fort le week-end, il faut travailler fort. Je suis tout à fait avec d’accord avec Tudor. J’ai lu son interview dans L’Équipe ce matin. »

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