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Les cris à l’injustice des grandes figures du basket français suffiront-ils à infléchir la position de la fédération française de basketball ? Après Tony Parker dans la foulée du sacre de l’Asvel féminin lundi soir (2-1 en finale contre Villeneuve d’Ascq), Nicolas Batum, dans une émission des youtubeurs First Team, s’est lui aussi montré très critique envers la décision du staff des Bleues, qui aurait choisi de se passer de Marine Johannès pour le prochain Eurobasket (15-25 juin) comme nous vous le révélions samedi.

« Elle demande une semaine pour gérer un truc contractuel, qu’on lui mette un ultimatum si tu viens pas tu fais pas les JO je trouve ça extrêmement dégueulasse »

« L’ultimatum autour de sa tête je trouve ça extrêmement dégueulasse, a ainsi fustigé l’ailier des Bleus. Pour une gamine qui depuis ses 15 ans n’a pas loupé une seule fois l’équipe de France. Elle demande une semaine pour gérer un truc contractuel, qu’on lui mette un ultimatum si tu viens pas tu fais pas les JO je trouve ça extrêmement dégueulasse. […] Je défends quelqu’un qui m’est très cher. Je comprends ce que la Fédé veut dire et la préparation au niveau des joueuses. Marine, elle est forte, elle est avec son équipe en finale, elle va jusqu’au bout. On n’a pas beaucoup de gens qui ont ce niveau-là. Elle est kiffée ici (aux Etats-Unis). […] Arrêtez de faire ch… bordel. Laissez là. Elle va venir. Cette fille est passionnée elle a du sang bleu dans les veines. Elle ne veut pas louper, elle veut tout faire. Laissez-là gérer et elle revient. Elle était en pleurs à la télé. Je sais que je vais me faire engueuler. »

Selon nos informations, au cours des célébrations du titre de l’Asvel, le président de la Fédération française, Jean-Pierre Siutat, aurait tenté à plusieurs reprises de s’entretenir, brièvement, avec Johannès. Cette dernière avait d’abord pris un soin tout particulier à éviter le président de la FFBB lors de la remise des médailles. Tous les deux auraient fini par se croiser, sans que ne filtre le contenu de leur conversation. Le pessimisme quant à un revirement de situation était toujours de mise.

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